Parmi les pistes de financement du cinquième-risque, il avait été proposé de mettre en place une seconde journée de solidarité. Rappelons qu’actuellement la journée de solidarité rapporte aux alentour de 2 milliards d’euros (2,2 mds en 2009). Cette somme est partagée entre l’aide aux personnes âgées et l’aide aux personnes handicapées.
Le sénateur de la Haute-Marne, Bruno Sido, s’est prononcé lors du débat sénatorial du 15 Février en présence de Roselyne Bachelot-Narquin pour une seconde journée de solidarité. Les revenus de cette journée seraient exclusivement réservés à la prise en charge de la dépendance.
Du fait de la dispersion familiale, il est normal que les enfants contribuent de cette manière à la prise en charge de leurs parents dépendants.
« En acceptant de travailler une journée de plus dans l’année, nous aiderons nos parents à rester autonomes le plus longtemps possible. »
Cependant, afin de s’assurer que les revenus seront bien distribués aux personnes âgées, la gouvernance de la CNSA devra être revisitée.
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