SONANCE Audition propose aux audioprothésistes fortement indépendants, de s’unir en co-branding.
Dès ce mois de septembre 2018, l’enseigne SONANCE Audition lance son programme d’association en co-branding à l’attention des audioprothésistes indépendants installés, désireux de rejoindre le réseau tout en conservant leur identité propre.
Fusionner au cas par cas
Le principe, fusionner au cas par cas, l’univers du centre de l’audioprothésiste et celui de SONANCE Audition. « Notre souhait est de nous développer avec des audioprothésistes qui nous ressemblent – indépendants et dynamiques. Nous avons rencontré beaucoup d’audioprothésistes installés – dont la notoriété est établie en local – qui se sont montrés enthousiastes pour rejoindre notre licence de marque, mais qui n’ont pas sauté le pas car trop attachés à leur nom d’enseigne. Nous avons décidé de créer un système de co-branding afin de lever ce frein », explique Laurent Buri – Président de SONANCE Audition. Par cette décision, l’enseigne souhaite renforcer davantage son positionnement de licence de marque indépendante et innovante.
Lire aussi : Dossier spécial Journée Nationale de l’Audition : la malaudition chez les seniors, un enjeu de santé publique
La personnalisation, au coeur de la stratégie de co-branding de SONANCE Audition
SONANCE Audition a prévu de s’adapter à ses futurs adhérents en leur proposant un univers harmonieux qui leur permettra de conserver leur nom propre ou nom d’enseigne tout en portant les couleurs de la marque. Le bénéfice de cette synergie pour une nouvelle recrue, sera de renforcer son image de marque en local grâce à la notoriété du réseau SONANCE, tout en profitant des services avantageux d’une enseigne (centrale d’achat, formation permanente etc.). Une stratégie différenciante sur le marché de l’audition, qui prévoit diverses formes d’associations possibles, à savoir des versions institutionnelles et des systèmes d’endossement divers.
Lire aussi : Réforme du « reste à charge zéro » : les audioprothésistes mettent en garde contre le risque d’un « échec sanitaire »
Cet article a été publié par la Rédaction le