En soutenant Philippe Berquin, doyen de la mini-transat 2023, Audilab veut porter la cause du bien-vieillir

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Philippe Berquin, doyen de la mini-transat, prendra le départ de la mythique course aux Sables d’Olonne le 24 septembre prochain, aux couleurs du réseau français d’audioprothésistes, Audilab. À travers ce sponsoring, Audilab soutient la cause du bien-vieillir, axe stratégique de sa politique RSE. Ainsi, en France, 65 % des personnes âgées de 65 ans et plus sont atteintes d’une déficience de l’audition. Avec le vieillissement de la population française, le phénomène s’amplifie : 9 cas de perte auditive sur 10 sont dûs à l’âge. Or, seuls 20 % des hommes et des femmes qui signalent un trouble auditif sont appareillés. Le risque d’isolement social est réel. Acteur de la santé publique, Audilab participe à une volonté de mieux et bien-vieillir.

Former les professionnels de demain pour répondre aux besoins croissants d’une population qui vieillit et veut bien-vieillir

La prévention et la solidarité sont deux axes fondamentaux du réseau grâce auxquels il veut valoriser le bien-vieillir. En France, la proportion de seniors s’accroît d’année en année. Le nombre de personnes âgées de 65 ans ou plus dans le monde devrait plus que doubler, passant de 761 millions en 2021 à 1,6 milliards en 2050, avertit un nouveau rapport de l’ONU publié en janvier 2023, qui appelle à gérer les défis et capitaliser sur les opportunités qu’entraîne le vieillissement de la population. En France, l’INS (Institut National de la Statistique) fait la projection que la population française atteindra les 74 millions dont 20 millions de plus de 65 ans. Le besoin en experts de l’appareillage et de l’implant auditif se fera toujours plus sensible. Soucieux de transmettre leur expertise, des audioprothésistes d’Audilab forment les professionnels de demain, et déploient des études cliniques afin d’accroître les connaissances sur la déficience auditive. C’est le cas de deux études observationnelles sur l’audiométrie vocale dans le bruit, déployées à grande échelle, en partenariat avec des équipes hospitalo-universitaires. Un autre objectif des études cliniques du réseau est d’évaluer l’efficacité des dispositifs proposés par les fabricants, toujours dans une optique d’améliorer la qualité de service pour ses clients et de participer à la cause nationale du bien-vieillir.

Philippe Berquin, doyen de la course porte les couleurs d’Audilab et valorise ainsi la cause du bien-vieillir

90 compétiteurs, 7 500 kms de navigation dans assistance et sans moyen de communication, un périple qui équivaut à 10 fois la distance Paris-Montpellier, tel est le nouveau challenge du doyen de la Mini-Transat Le partenariat entre le skipper Philippe Berquin et Audilab débute en 2017, à l’occasion d’une première traversée de l’Atlantique à la rame. Réunis par leurs valeurs et leur conviction commune que la pratique d’une activité physique et sportive joue un rôle majeur dans le bien vieillir, ce projet permet de montrer, qu’à plus de 60 ans, tout est possible, même les défis les plus fous, pour peu que la santé et l’envie soient entretenues. Ce jeune homme de 64 ans se retrouvera seul au milieu de l’Atlantique sur son voilier de 6m50 de long, « Hector ». La vitesse du voilier est parfois aussi rapide qu’un cheval au galop et l’envergure de sa grand voile est de 25 m2. Des chiffres impressionnants qui prouvent que bien vieillir est possible si l’on est attentif aux risques que l’on prend et si, en les mesurant, on sait bien s’entourer et prendre soin de soi.

Philippe Berquin et Audilab, qualifiés pour la 24ème édition de la mini-transat

Après une longue phase de qualifications en 2022, le skipper Philippe Berquin est inscrit pour participer à la 24ème édition, à bord du voilier Audilab, au départ des Sables d’Olonne le 24 septembre 2023. Le skipper a obtenu les 1 500 milles nautiques requis et effectué un parcours qualificatif de 1 000 milles supplémentaires. La Mini-Transat est une course transatlantique à destination de la Guadeloupe, une traversée de 4 050 milles (7 500 km), sans assistance et sans moyen de communication moderne. Tous les deux ans depuis 1977, à l’automne, les skippers prennent la mer en solitaire, à bord de « Minis », des voiliers de 6m50. La traversée s’effectue en deux étapes, au départ de la France métropolitaine (depuis 1985), avec une escale d’une dizaine de jours aux îles Canaries, avant de rejoindre les Antilles.

©Olivier Blanchet / SAS 2022

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Cet article a été publié par la Rédaction le

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