En faisant un point sur l’état d’esprit de la commission des affaires sociales, le sénateur Bernard Cazeau met en avant un consensus sur l’absence de catastrophisme, la nécessité de se doter de nouveaux outils d’évaluation de la dépendance, et une répartition plus équitable des financements.
En revanche, il se prononce contre la mise en place d’une seconde journée de solidarité car la première fut un « fiasco mémorable » déclare-t-il. La création d’une cinquième branche n’est pas crédible au vu du déficit de la sécurité sociale.
Le recours aux assurances individuelles ne peut être accepté puisqu’il exclurait injustement les plus démunis. De plus l’exemple américain nous montre l’inefficacité de ce mode de prise en charge.
Selon Bernard Cazeau, les solutions de financement sont à trouver dans les niches fiscales et avec le retour de la taxe professionnelle. Ces modalités de prise en charge de la dépendance permettraient d’avoir un cinquième-risque basé sur la solidarité nationale
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