Autonomie des résidents seniors : Aareon propose une plateforme digitale dans le cadre du projet européen i-stay@home

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Limiter l’impact du vieillissement et aider les personnes âgées à surmonter les défis liés à l’isolement, la sécurité, ou l’invalidité grâce aux nouvelles technologies, tel est l’objectif du projet européen i-stay@home lancé en 2012.

Partenaire de ce projet, Aareon, acteur européen des solutions digitales appliquées à l’immobilier, a conçu et mis en place une plateforme digitale pour répondre à ces problématiques et permettre aux seniors de prolonger leur autonomie au sein de leur habitat.

Une plateforme au service des seniors

AaeronSelon le dernier rapport de l’Union Européenne sur le vieillissement*, la part des personnes âgées de 65 ans et plus devrait passer de 18 % à plus de 27 % d’ici 2060. Une tranche d’âge qui présente des défis de taille pour les économies et les systèmes de santé à travers l’Europe.

Les gouvernements et entreprises doivent s’adapter à ces changements démographiques et pallier le manque de solutions alliant les services à la personne à l’agilité des nouvelles technologies. Dans ce cadre, Aareon a réalisé, au sein du projet i-stay@home, un prototype de plateforme digitale dédié aux personnes âgées, permettant l’intégration de solutions numériques connectées.

Son objectif premier : aider les seniors à vivre dans les meilleures conditions dans leur habitat grâce à des outils simples et ergonomiques.

Créer du lien social au sein de l’habitat

logo AaeronAccessible depuis une tablette, l’application web développée par Aareon offre aux personnes âgées un véritable service d’accompagnement. Grâce à la plateforme, les résidents peuvent à tout moment prendre contact avec leur bailleur immobilier et gérer leurs réclamations en ligne s’ils constatent une anomalie dans leur logement.

De même, ils peuvent échanger par chat ou par vidéoconférence avec leurs proches et leur faire parvenir des documents, un moyen pratique de combattre la solitude qui peut parfois les toucher. Expérimenté dans 9 sites pilotes, le chat est l’une des fonctionnalités de l’application que les résidents seniors se sont le plus facilement appropriés.

Avec la fonction communautaire, les seniors peuvent aussi publier des petites annonces sur un portail pour favoriser l’échange de services et d’équipements entre les générations. Ils ont ainsi la possibilité de confier leurs listes de courses à d’autres locataires s’ils ne peuvent se déplacer, ou d’emprunter à leurs voisins les outils dont ils ont besoin.

S’assurer de la santé et du bien-être des résidents seniors

Domotique - IOT- Objets connectésGrâce à de nombreux objets connectés à la plateforme, le locataire devient acteur de sa santé. Il peut la contrôler lui-même à domicile et être suivi à distance par un proche ou par son médecin traitant. Equipé d’un pèse-personne intelligent, d’un tensiomètre ou d’une montre connectée, il a accès à plusieurs indicateurs santé, notamment à son poids et à ses pulsations cardiaques. Ces données sont enregistrées au sein de la plateforme et peuvent être partagées avec les personnes de son choix.

Un système d’alertes prévient ces dernières en cas de problème ou d’une éventuelle chute.

De plus, des capteurs placés dans le logement de la personne âgée transmettent des informations sur sa consommation d’électricité, de chauffage, d’eau et sur la température de son logement. Son gardien est alors informé de tout dysfonctionnement directement par ce biais.

« La problématique émergente du vieillissement de la population a conduit l’Europe à piloter des projets pour maintenir les seniors à leur domicile. C’est ainsi que nous avons été sélectionnés pour développer une plateforme facile d’utilisation offrant les services nécessaires aux seniors pour qu’ils restent plus longtemps chez eux. Nous leur permettons de faire leurs démarches en ligne et d’interagir avec leurs proches et leurs voisins, pour ainsi préserver leur autonomie à domicile », explique Imad Abdallah, Directeur général d’Aareon France.

*Rapport 2015 de l’Union Européenne sur le vieillissement


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Cet article a été publié par la Rédaction le

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