Roselyne BACHELOT-NARQUIN effectuera un déplacement à New-York sur le thème des droits des femmes et de la dépendance, jeudi 24 et vendredi 25 février 2011.
A propos des droits des femmes, la ministre participera à un colloque jeudi 24 février organisé par la France sur la question des violences de genre en milieu scolaire et leurs impacts sur la scolarisation des filles.
Elle interviendra ensuite devant la 55ème Commission de la condition de la femme. Composée de 45 Etats membres de l’Organisation des Nations Unies (ONU), cette commission a pour objectif de préparer les recommandations et les rapports du conseil pour la promotion des droits des femmes dans les domaines politiques, économiques, civiles, sociaux et éducatifs.
Roselyne BACHELOT s’entretiendra ensuite avec Madame Michelle BACHELET, Secrétaire générale adjointe et Directrice exécutive d’ONU Femmes, ancienne présidente du Chili.
Sur le thème de la dépendance, la ministre rencontrera Vendredi 25 février Madame Liliam BARRIOS-PAOLI, commissaire aux personnes âgées, adjointe au maire de New-York, le Dr. William T. SMITH, président de l’association « Aging in America », organisation offrant une grande variété de services aux personnes dépendantes. Une rencontre est également prévue avec Madame Jennie HANSEN, ancienne présidente de l’American Association of Retired Persons (AARP) et les représentants de l’AARP, association dont l’objectif est d’améliorer les conditions de vie des personnes âgées et de lutter contre les discriminations dont elles sont victimes (emploi, accès aux biens et aux services).
Elle visitera ensuite plusieurs structures dédiées aux personnes âgées :
- l’un des cinq centres de New-York « Morningside House », situé dans le Bronx, qui propose des services aux personnes âgées dépendantes (portage de repas, activités récréatives et culturelles, suivi médical…) et aux aidants familiaux
- l’un des six centres multidisciplinaires d’hébergement « Selfhelp », qui propose une large variété de prestations et développe les technologies de l’information et de la communication dans son offre de service permettant aux résidents de vivre de façon autonome et de rompre leur isolement.
Cet article a été publié par la Rédaction le