Le Groupe SOS, entreprise sociale européenne, et Skilero.com, plateforme de recrutement en ligne, ont développé ensemble un dispositif de recrutement innovant : trois tests de compétences métier, dans les domaines de la petite enfance, de la santé et de l’accompagnement des seniors.
Une nouvelle solution de recrutement expérimentée
Le Groupe SOS et Skilero.com expérimentent actuellement une nouvelle solution de recrutement, basée sur 3 tests dédiés aux métiers d’aide-soignant, d’auxiliaire de vie et d’accompagnement de la petite enfance.
Chaque test propose une soixantaine de questions (sélectionnées parmi environ 300 grâce à un algorithme), orientées vers la mise en situation et la prise de décisions. Grâce à cette pré-sélection, le Groupe SOS peut contacter des candidats dont le niveau d’aptitude à la prise de poste a été apprécié via un test de compétences construit par des professionnels, incluant les différentes composantes du poste.
« Depuis que nous utilisons ces tests, nous avons raccourci le temps d’intégration et de formation de nos salariés », explique Jérôme Bouron, DRH du Goupe SOS. Au total, 750 personnes se sont inscrites aux tests dans ces trois métiers, et Jérôme Bouron s’est vu remettre le prix du DRH Numérique 2017 par l’ANDRH. Ce succès fait envisager au Groupe SOS et à Skilero de proposer de nouveaux tests, sur les métiers de l’éducation notamment.
Une solution efficace pour recruter dans des métiers en tension
L’an dernier, le Groupe SOS avait publié 1 300 offres d’emploi, notamment dans des métiers en tension. Pourvoir ces emplois n’est pas toujours simple, ce qui a amené le Groupe à compléter ses dispositifs par un nouveau mode de recrutement.
Aujourd’hui, grâce à ce nouveau vivier de candidatures, le Groupe SOS dispose d’un outil complémentaire pour augmenter l’efficience de ses recrutements et apporter des services nouveaux aux candidats.
« Pour nous, retenir ou non les candidatures étudiées ne suffit pas, explique Jérôme Bouron, DRH du Goupe SOS. Nous voulons permettre aux candidat(e)s d’augmenter leur employabilité, tout en répondant à deux problématiques majeures : la méconnaissance de certains des métiers qui sont les nôtres, et les difficultés de qualification des milliers de candidatures que nous recevons ».
Cet article a été publié par la Rédaction le