« La mort, si on en parlait ? » : l’émission qui brise les tabous

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La mort est un sujet que peu de personnes osent aborder. Pour libérer la paroles et briser l’omerta qui règne sur ce sujet, l’émission « La Mort, si on en parlait? », propose un échange entre différents intervenants pour parler, sans tabou de ce sujet qui nous concerne tous.

L’émission se déroulera le 1er Novembre à 17h sur le site La mort, si on en parlait.

Un sujet de société tabou

En prenant le risque de vivre, il faut accepter celui de mourir. Pourtant, il est beaucoup plus simple d’évoquer la vie plutôt que ce qui lui succède. Ce sujet que personne n’aime abordé mérite d’être remis sur le devant de scène car il fait parti intégrante de la société et de l’histoire de la vie.

Contrairement aux préjugés, parler de la mort n’est pas anxiogène, n’est pas non plus dépressogène.

Marie-Frédérique Bacqué, psychologue et professeur de psychopathologie

Cependant, il est important de communiquer autour de la mort afin d’exprimer ses doutes, ses peurs mais aussi ses volontés. D’une façon ou d’une autre c’est un sujet qui impacte chaque individu tout au long de sa vie.

Une initiative de la MAIF et du Groupe VYV

Pour les deux entités à l’origine du projet « La mort, si on en parlait ? », les effets du silence sont délétères. La crainte qu’impose cette échéance certaine a un impact direct sur la santé physique et mentale et sur l’environnement personnel et collectif. Il est important d’envisager la mort sous des angles nouveaux à l’ère du XXIème siècle.

Le « beau » dans le processus de deuil est essentiel pour accompagner la souffrance.

Christophe Fauré, médecin psychiatre et psychothérapeute
Bonheur - Sourire - Vacances

C’est dans cette démarche là que s’ouvre un débat sans complexe qui permet d’interpeller tous les acteurs concernés : professionnels et privés.

La mort c’est ce qui donne un sens à la vie

Boris Cyrilnuk, neurologue, psychiatre, éthologue et psychanalyste

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Cet article a été publié par la Rédaction le

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