La Fondation Médéric Alzheimer lance aujourd’hui la première étape des Assises de la Recherche et de l’Innovation Sociale, qui se tiendront les 7 et 8 mars à Paris.
En effet, les acteurs concernés par le vieillissement cognitif sont donc invités à participer, jusqu’au 10 février prochain, à une consultation nationale pour déterminer quelles connaissances manquent pour comprendre et pour agir, quelles réponses il convient d’expérimenter, et quelles solutions pour relever le défi du vieillissement cognitif.
Réunir les acteurs concernés et les inviter à s’engager
L’ambition de ces Assises sera de réunir l’ensemble des acteurs concernés par le vieillissement cognitif et de les inviter à s’engager, à partir d’un constat partagé, sur des objectifs et une stratégie commune :
Quels sont les sujets prioritaires ?
Comment les aborder ?
Selon quelles méthodes ?
Avec quels acteurs, quelles compétences et quels métiers ?
Pour quel projet ?
Avec quels moyens humains et financiers ?
L’objectif est de lancer, à l’issue des Assises, d’ambitieux programmes de recherche et d’innovation sociale, pour retarder la perte d’autonomie, mieux comprendre ses déterminants, et améliorer l’accompagnement des personnes en difficulté cognitive et de leurs aidants.
Le comité de pilotage des Assises est composé de représentants des grands opérateurs de la recherche au service de l’innovation sociale : AGIRC-ARRCO, Association France Alzheimer et maladies apparentées, CNAV, CNSA, Fondation de France, Fondation Plan Alzheimer et Fondation de l’Avenir.
Une consultation en prévision des Assises de la Recherche et de l’Innovation Sociale
Consultation en ligne, jusqu’au 10 février (durée de réponse moyenne entre 10 à 15 mn).
Cette dernière permettra que les Assises et que le Livre blanc qui en découlera soient porteurs de l’expérience, de l’expertise et de l’inventivité de tous les acteurs. Elle sera également l’occasion de déterminer quelles connaissances déterminer quelles connaissances manquent pour comprendre et pour agir, quelles réponses il convient d’expérimenter, et quelles solutions il faudrait d’ores et déjà valoriser et disséminer pour relever le défi du vieillissement cognitif.
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