La FEHAP, membre du Haut Conseil de la Famille, de l’Enfance et de l’Age (HCFEA), n’a pas voté l’avis émis par le Conseil de l’Age dans son rapport sur « la prise en charge des aides à l’autonomie et son incidence sur la qualité de vie des personnes âgées et de leurs proches aidants ».
Élargir l’accès au droit au répit : un souhait émis par la FEHAP
La FEHAP ne partage pas l’avis du Conseil de l’Age souhaitant « consolider le droit au répit largement dans le plan d’aide personnalisé ». Sur le fond, la FEHAP reste fidèle à sa position historique : le droit au répit, actuellement limité aux seuls aidants des bénéficiaires de l’Aide Personnalisée à l’Autonomie (APA), est doté « d’un montant trop faible et son accès reste insuffisamment ouvert ».
La FEHAP souhaite revenir sur ces modalités restrictives afin de permettre à tous les aidants de bénéficier du droit au répit, sans aucune discrimination préalable liée à l’existence d’un plan d’aide.
Par ailleurs, la FEHAP aurait souhaité que « l’avis du Conseil de l’Age s’exprime d’une seule voix et ne soit pas une accumulation de positions inviduelles ».
Lire aussi : Le baluchonnage, une solution de répit pour les aidants étudiée en France
Cet article a été publié par la Rédaction le