Dans sa tribune d’hier dans l’Opinion, Brigitte Bourguignon, Ministre déléguée auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, chargée de l’Autonomie, déclare que la priorité de son Ministère est de “permettre à chacun de vieillir le plus longtemps possible chez soi. Ce virage domiciliaire reposera […] sur la revalorisation et l’attractivité des métiers du grand âge.”
APEF fait partie de ces acteurs de services à la personne, qui oeuvrent chaque jour pour le bien-être à domicile.
Du jeune retraité actif à la personne en perte d’autonomie, APEF s’adapte à tous les profils
Un accompagnement sur-mesure, voilà la promesse de l’entreprise de services à la personne APEF. Créée il y a 28 ans, APEF s’adresse à toutes les catégories d’âge mais a fondé sa légitimité et son expertise sur l’accompagnement des personnes âgées. L’entreprise se distingue notamment par son positionnement vis-à-vis d’elles et répond à leurs besoins en ajustant ses services en fonction des situations.
Chez APEF, on considère que les personnes, âgées ou non, sont différentes, multiples. Chacune avec sa personnalité et ses besoins. Ce qui fait qu’on ne va pas proposer le même type de prestations à une personne de 50 ans que 80, et pas le même service à deux personnes du même âge non plus. On s’adapte.
Sébastien Cogez, le directeur
Faire société
Dans sa tribune, Brigitte Bourguignon explique qu’il nous appartient désormais de nous saisir des questions du grand âge et de la perte d’autonomie, en respectant cette double exigence d’humanité et de continuité du “faire société”. Aujourd’hui, plusieurs profils d’individus font appel aux prestations de services à domicile. L’actif, le jeune retraité, l’aidant, la personne âgée dépendante, en perte d’autonomie.
Lutter contre l’isolement dans une approche globale
L’engagement d’APEF, c’est faire en sorte qu’aucun de ses bénéficiaires ne soit exclu de la société par méconnaissance des outils numériques, avec par exemple un accompagnement spécifique d’un intervenant expert en informatique pour pouvoir faire une conversation en visio avec ses proches. C’est aussi encourager la stimulation et l’échange par le jeu ou la conversation de courtoisie.
Un nouveau service s’apprête d’ailleurs à être lancé, “un brin de causette”, qui réinvente la conversation au profit du bien vieillir et de l’échange familial. Une autre manière d’être attentif au bien-être moral des seniors et qui s’inscrit toujours dans la volonté du bien vieillir chez soi.
La revalorisation du métier d’aide à domicile : un métier tourné vers l’humain
Brigitte Bourguignon l’affirme, pour réussir le pari du bien vieillir chez soi, il est indispensable de revaloriser les métiers du grand âge. Le rôle d’un auxiliaire de vie, c’est de pouvoir apprécier et d’être attentif à l’état de santé du bénéficiaire, de remonter et de signaler une information préoccupante concernant la personne fragile dont il s’occupe. Il est donc central.
Cet article a été publié par la Rédaction le