EyeBrain T2 : un nouveau dispositif pour mesurer les mouvements oculaires en prenant en compte les mouvements de tête

Partager cet article

La société EyeBrain, qui fabrique des dispositifs médicaux d’aide au diagnostic précoce de maladies neurologiques, dont notamment l’EyeBrain Tracker, a lancé un nouveau dispositif médical. Il s’agit de l’EyeBrain T2, ce nouveau dispositif permettant de faire des examens basés sur l’oculomotricité prend désormais en compte les mouvements de la tête.

Grâce à cette évolution, EyeBrain T2 permet d’évaluer plus précisément les marqueurs des fonctions cérébrales. De fait, ce nouvel oculomètre permet de gagner du temps dans le diagnostic précoce de maladies neurologiques telles que les syndromes parkinsoniens, d’assurer le suivi de l’évolution de la sclérose en plaque, ou encore la caractérisation des troubles de la lecture.

EyeBrain T2 : un oculomètre plus performantlogo eyebrain Silver Economie

l’EyeBrain T2 est un oculomètre qui permet d’enregistrer les mouvements de la tête. Grâce à cette innovation, la toute dernière version de l’EyeBrain Tracker est plus sensible et plus performante que celle du  Mobile EBT (Mobile EyeBrain Tracker).

En effet l’EyeBrain T2 peut enregistrer et les mouvements oculaires et les mouvements de tête, ceci permet d’avoir la position du regard du patient durant son examen et d’augmenter la précision des données recueillies. Cette innovation permet également de proposer de nouveaux examens aux neurologues, ainsi que d’avoir la possibilité de mesurer quels sont les impacts des thérapies proposées aux patients.

En plus des nouvelles options, l’ergonomie du dispositif EyeBrain T2 a évolué : il est plus léger et plus confortable. De plus, ses logiciels sont révisés régulièrement pour permettre de faciliter l’utilisation par les praticiens.EyeBrain tracker 2 silverco.fr

Les dispositifs EyeBrain Tracker ont obtenu le marquage CE et incluent :

  • un Eyetracker,
  • une mentonnière,
  • deux écrans,
  • un ordinateur,
  • des logiciels de stimulation et d’analyse.

Des collaborations sont en cours entre EyeBrain et l’Inserm, le CNRS, l’AP-HP et l’Université Paris-Descartes.


Partager cet article

Cet article a été publié par la Rédaction le

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *