A l’occasion du lancement de sa nouvelle promesse de marque, Teva Santé poursuit son action en direction des personnes fragiles et des aidants et s’attache à décrypter la question de l’autonomie à domicile.
Le laboratoire a dévoilé les résultats de l’étude « Teva Santé – Regards croisés aidants/aidés », qui a permis d’explorer la perception qu’aidés et aidants ont des notions d’autonomie et de dépendance.
Lancement de la nouvelle promesse de marque de #TevaSante mise en musique aujourd’hui avec nos engagements et nos actions mis en avant pic.twitter.com/i0sAcS8s0x
— Teva Santé (@TevaSante) 19 septembre 2017
Perception de l’autonomie : regards croisés aidants et aidés
Dans le cadre de cette enquête, 76,2% des interrogés pensent que le maintien à domicile est la meilleure solution pour aider un proche en perte d’autonomie. En outre, 77% des français souhaitent vieillir chez eux et seuls 6% des logements sont adaptés à la perte d’autonomie.
4 grands enseignement sont à retenir :
Etre aidé oui, être assisté non !
Les aidants et les aidés perçoivent la perte d’autonomie différemment. Pour l’aidant par exemple, être autonome, c’est avant tout « être capable de faire les choses matérielles ». Il dispose d’une approche logiquement plus extérieure, plus distanciée, plus conceptuelle.
Pour l’aidé, l’autonomie c’est avant tout : « faire soi-même les choses ». Le manque d’autonomie affecte surtout le
psychologique et l’affectif : pouvoir décider, choisir, exprimer son opinion et être entendu, voire ne pas être assisté.
Le respect du libre arbitre
Les aidants doivent proposer une aide sans jamais l’imposer et garantir l’indépendance de l’utilisateur sur les plans technologiques et logistiques.
La notion du « soi », qui anime les aidés, implique un pouvoir de décision. Garder un pouvoir de décision – même minime – constitue, pour les aidés, le fondement même de l’autonomie. « Choisir d’être autonome, c’est déjà avoir le choix de son autonomie ».
La technologie : la crainte d’une nouvelle dépendance
L’outil connecté doit nécessairement avoir un bénéfice tiré de l’expérience de la vie réelle et non pas la digitaliser.
Il peut répondre à un besoin médical, mais doit également correspondre à un bénéfice humain pour l’aidé et pour l’aidant : réassurance et sérénité.
Il s’agit d’un moyen qui ne saurait ni se substituer à l’aidant, ni amoindrir le lien social et familial.
Favoriser la qualité de la relation humaine
La question de la relation humaine aidant-aidé doit être au coeur de la réflexion sur l’utilisation des objets/services connectés, pour une relation plus qualitative.
Lire aussi : Etude : La Fondation Médéric Alzheimer publie un baromètre sur les aidants
Un module vidéo développé par Teva Santé
Un module vidéo à visée informative pour “faciliter l’autonomie à domicile” a été développé.
Cet outil met en scène une sélection de services de santé connectée disponibles sur le marché ainsi que les aménagements mobiliers nécessaires pour faciliter l’autonomie des personnes fragiles à domicile.
Visionner le module vidéo :
Cet article a été publié par la Rédaction le