Le Docteur Philippe Rodet, ancien urgentiste désormais à la tête du Cabinet Bien-être et Entreprise, met en lumière l’intérêt et l’influence positive des comportements bienveillants dans son récit : « Aurélien, c’est papa, je t’aime ! Et si la bienveillance sauvait des vies ».
Le nouveau roman de Philippe Rodet décortique les relations humaines et leur perspective d’évolution positive par la bienveillance.
Un récit qui suit la transformation d’un homme
À 43 ans, Hervé Treil, dirigeant stressé d’une entreprise, malmène ses collaborateurs : les arrêts de travail et les burn-out se multiplient.
Père égaré, Hervé ne sait plus exprimer son amour à Aurélien, son fils unique. Et quand soudain un drame familial arrive, tout bascule…
C’est grâce à sa rencontre avec Pascal Leblanc, médecin urgentiste, que Hervé découvre la force des
comportements bienveillants. Sa vie va être bouleversée au point de lui laisser entrevoir ce qu’il n’osait pas espérer : la réussite et le bonheur !
Un plaidoyer pour la bienveillance
À travers ce récit, l’auteur nous invite à suivre la transformation d’un homme au bord de la rupture sociale et familiale. Cet ouvrage est avant tout un plaidoyer pour la bienveillance : renouer avec la santé, trouver la voie du succès, découvrir des relations humaines apaisées, tendre vers le bonheur.
Extrait :
« Hervé Treil s’était soudain mis à pleurer comme un enfant. Il reniflait bruyamment. Mais il y avait
à le regarder quelque chose de touchant dans cet être qui lui avait été décrit plusieurs fois comme
un homme sans coeur, capable de pousser ses employés au bord du burn-out et de la crise cardiaque.
Combien d’erreurs commettaient les hommes en jugeant sans cesse leur prochain, quand parfois, il
suffisait de lire dans leur coeur pour mieux les comprendre. Pascal se dit alors que tout aussi terrible
que le fléau de la pauvreté en existait un autre tout aussi dévastateur : la misère affective. »
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Cet article a été publié par la Rédaction le