D’après une étude écossaise, se marier à une femme intelligente garantirait une vie heureuse, plus longue et un moindre risque de développer la maladie d’Alzheimer, ou une autre forme de démence.
Des résultats formulés par l’Université d’Aberdeen
Pour vivre mieux et plus longtemps, il faudrait donc choisir une compagne avec un QI supérieur ! C’est en effet ce que révèle une étude de l’Université d’Aberdeen, en Ecosse, qui s’est intéressée à l’impact de la relation maritale des hommes sur l’évolution de leur état neuropsychiatrique avec l’âge.
Le constat est frappant : les hommes mariés à des femmes intelligentes mènent, d’une part, une vie plus longue et plus heureuse, mais présentent d’autre part moins de chances de développer la maladie d’Alzheimer ou d’autres formes de démences.
Le professeur Lawrence Whalley, directeur de l’étude, a déclaré : « La chose que l’on ne dit jamais à un garçon qui veut mener une longue existence (…) c’est d’épouser une femme intelligente (…) il n’y a pas de meilleur rempart contre la dégradation que l’intelligence ».
Mesdames, aucune crainte si votre mari s’ennuie lorsque vous lui parlez : c’est pour son bien, il est peut-être en train d’augmenter son espérance de vie sans le savoir !
En effet, les femmes dont la conversation requiert un certain effort intellectuel et un certain degré de réflexion éviteraient à leur conjoint de sombrer dans la déchéance mentale et la sénilité.
D’autres facteurs jouent un rôle dans l’apparition de démences
Les chercheurs mettent aussi en avant d’autres facteurs jouant un rôle crucial dans l’apparition de démences, comme la perte d’un proche à un très jeune âge.
Les études ont montré que la mort de la mère avant d’atteindre l’âge de cinq ans est un facteur de risque très important. Toutefois, recevoir un soutien et un amour parental suffisant pendant l’enfance, mener de longues années d’études ou évoluer dans un environnement favorable sont les meilleures façons de s’assurer une santé mentale pérenne.
Les recherches ont également établi que le maintien d’une activité physique et la poursuite d’activités intellectuelles et/ou d’ateliers qui stimulent la mémoire, la logique ou la réflexion pourraient diminuer le risque de démences liées à l’âge.
Cet article a été publié par la Rédaction le
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